En conférence de presse avec Jérôme Viaud pour défendre le Centre Hospitalier de Grasse qui fait figure de « grand oublié » du Ségur de la Santé.
Je suis heureuse de le faire parce que c’est une institution vitale au bénéfice des habitants de tout notre bassin de vie. En effet, nous avons la chance de pouvoir compter sur des professionnels de santé remarquables qui montrent une résilience à toute épreuve contre la pandémie.
Tous ces acteurs portent un magnifique projet de modernisation qui doit être plus fortement soutenu par l’État et nous nous battons à leurs côtés pour cela.
Michèle TABAROT interpelle le Ministre de la Santé à l'Assemblée nationale
Le soutien de l’État aux initiatives de Santé dans nos territoires n’est pas à la hauteur.
C’est d’autant plus contestable, car si aujourd’hui l'hôpital de Grasse se retrouve pénalisé par rapport à d’autres, c’est au prétexte qu’il maîtrise son budget et que son projet se concrétise…
Dans le même registre, j’ai saisi l’occasion lors de mon intervention à l’Assemblée nationale pour réclamer une nouvelle fois que l’État prenne toute sa part au financement des centres de vaccination communaux, car là encore, il n’est pas au rendez-vous en matière de compensations financières.
Autant pour l’hôpital de Grasse que sur le financement des centres de vaccinations, j’ai demandé au Ministre de la Santé de réviser à la hausse la participation financière de l’État pour répondre favorablement aux attentes légitimes des acteurs locaux