Retrouvez le débat de l'entre-deux tours diffusé sur France 3 Côte-d'Azur où j'ai pu confronter ma vision pour notre 9° circonscription à celle de la candidate "En Marche"...
L'heure est à la clarté ! Clarté sur les convictions... Clarté sur les valeurs : autorité, respect, travail, laïcité, solidarité... Mais aussi sur la connaissance des problématiques de notre territoire et des projets que nous avons construits ensemble.
Ce dimanche 18 juin, au second tour des élections législatives, j'aurai besoin de vous ! Faites le choix d'une élue engagée toujours restée fidèle à ses valeurs ????????
En piste pour un 3ème mandat dans la 9° Circonscription, le Député Maire (LR) du Cannet Michèle TABAROT partage son ambition pour son parti et pour le pays ‹ Nice-Matin, propos recueillis par P. Primi
Michèle Tabarot repart en campagne pour conserver le siège de député de la 9° Circonscription, qu'elle occupe depuis déjà deux mandats. Un choix qui, loi sur le non-cumul des mandats oblige, va la contraindre si elle est réélue à abandonner son fauteuil de maire du Cannet-Rocheville. Mais, prévient-elle d'emblée, cela ne signifie en aucun cas pour elle abandonner sa commune. Interview…
Abandonner votre siège de Maire ou celui de Député. Un choix difficile ?
Bien sûr, cela n’a pas été facile. Mais je suis très attachée à cette circonscription, que j’ai reprise à la gauche, et dans laquelle je travaille avec les maires et les habitants depuis des années. J’ai donc fait le choix de ne pas abandonner les habitants de ce territoire et de donner toutes les chances à mon parti de conserver cette circonscription.
À un moment où le nouveau président de la République déstabilise les Français, il est important que les électeurs aient un repère et puissent voter comme ils n’ont pas pu le faire au second tour de la présidentielle.
Cela vous contraint donc à quitter vos fonctions de Maire
Soyons clairs, je n’ai pas la moindre intention d’abandonner Le Cannet. Je ne serai plus ni Maire ni adjointe puisque la loi m’en empêche, mais je serai conseillère municipale, je resterai présidente du groupe majoritaire, j’assisterai aux réunions de services, je tiendrai les permanences sur le terrain.
Soyons clairs, je n’ai pas la moindre intention d’abandonner Le Cannet !
Communiqué de Presse • Le Cannet, le 16 février 2017
Michèle TABAROT, Député des Alpes-Maritimes, dénonce avec la plus grande fermeté les propos inexcusables d’Emmanuel Macron qui a osé qualifier la colonisation française de « crime contre l’humanité ».
Ces affirmations ravivent inutilement les souffrances endurées par les Pieds-noirs & les Harkis qui – en 1962 – ont dû quitter si brutalement ce pays, y laissant leurs défunts et les souvenirs d’une vie. Elle partage l’émotion légitime suscitée par cette violente mise en cause de leur histoire et de leur œuvre.
.@emmanuelmacron commet une faute historique et fait insulte aux souffrances endurées par tous les pieds-noirs et Harkis contraints à l'exil https://t.co/Af5ry83LJA
Faut-il une nouvelle fois rappeler les apports de la colonisation dans ce pays ? Les Pieds-noirs ont créé des hôpitaux, des écoles, des routes. Ils ont développé l’économie, modernisé l’agriculture. Aujourd’hui encore l’Algérie en bénéficie pleinement.
Ramener la colonisation au rang de « crime contre l’humanité » – au même titre que la Shoah ou les massacres perpétrés par les pires dictatures au Monde – est totalement indigne, surtout de la part de quelqu’un qui aspire à la Présidence de notre République.
Au lieu de tenir de tels propos, Monsieur Macron se serait grandi à montrer son désir d’œuvrer à la réconciliation et à l’apaisement des mémoires, surtout après les nouvelles offenses subies durant le mandat de François Hollande qui a, notamment, pris part aux commémorations des funestes accords d’Evian.
Michèle Tabarot, Député-Maire du Cannet est engagée depuis des années dans les domaines en lien avec l'Éducation, l'adoption et la protection de l'Enfance ‹
“ Dans toutes les décisions, qu’elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale. ” Convention internationale des Droits de l’Enfant – Nations Unies, le 20 novembre 1989
Parlons de la « protection de l’Enfance » en France… Où en sommes-nous ?
MTa.:Deux enfants meurent chaque jour dans notre pays, victimes de maltraitances. C’est un drame… Malgré cela, nous constatons encore que ce sujet prépondérant se retrouve trop souvent relégué au second plan, derrière des considérations très éloignées de l’intérêt supérieur de l’enfant.
Chaque année, des milliers d’enfants sont placés, en vue de leur protection, auprès de services spécialisés dont je tiens à saluer le dévouement. Ces professionnels et associations nous alertent aujourd’hui et souhaitent des moyens nouveaux, pour être en mesure d’apporter un soutien plus efficace aux mineurs dont ils s’occupent, que ce soit de façon temporaire, ou bien dans la perspective d’une adoption.
La nuit dernière, j’ai tenu à être présente dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale pour voter en faveur de la prolongation de « l’état d’urgence » dans notre pays pour six mois supplémentaires.
À l'issue des débats entamés la veille, nous l'avons adoptée – à 4:53 ce matin – par 489 voix contre 26.
Ce vote était incontournable pour conserver certaines capacités d’action face aux menaces terroristes, mais les mesures que contient ce texte restent bien en-deçà de ce qu’il faudrait mettre en œuvre sans perdre plus de temps.
Voilà qu'une guerre nous a été déclarée. C'est une guerre asymétrique, et pour la remporter nous devons nous donner les moyens de lutter à armes égales contre les terroristes islamistes. La frilosité n’est plus de mise. Il faut désormais du courage et de la fermeté pour faire face à la menace. Cela commande d’aller bien plus loin que la simple reconduction de « l’état d’urgence ».