Le Parlement a sauvé mardi (ndlr : 19 mars 2024) l'existence des « jardins d'enfants », alternatives à l'école maternelle qui auraient pu disparaître à la rentrée 2024.
Les Sénateurs ont très largement adopté, sans la modifier, une proposition de loi de la Députée des Alpes-Maritimes, Michèle TABAROT.

Je me réjouis de l’adoption définitive au Sénat de ma proposition de loi visant à pérenniser les « jardins d’enfants ».

Dans le cadre d’une initiative transpartisane cosignée par quarante-cinq (45) Députés, ce texte concernant à l’origine le jardin d’enfants des Bengalis à Grasse dont nous voulions empêcher la fermeture avec le Maire Jérôme Viaud, a été soutenu par de larges majorités à l’Assemblée nationale comme au Sénat.

L’enjeu était important. L’urgence réelle. Sans modification législative, ces jardins d’enfants étaient menacés de fermeture à la prochaine rentrée scolaire.

En séance du Conseil municipal au Cannet, où nous présentons parmi la dizaine de délibérations à l’ordre du jour, le résultat financier pour l’exercice écoulé qui affiche un excédent budgétaire supérieur de 3,7 millions d’euros aux prévisions votées l’an dernier.

Un résultat d’autant plus positif, qu’il intervient alors que nous devons faire face, cette fois encore, à des décisions sans concertation imposées depuis Paris, auxquelles s’ajoute une nouvelle baisse des dotations versées par l’État à notre commune.

Un excédent budgétaire supérieur de 3,7 millions d’euros aux prévisions votées l’an dernier pour clôturer l'exercice 2023.

Malgré un contexte économique national très dégradé, nous parvenons à conserver une très bonne maîtrise de nos dépenses, sans remise en cause de la qualité de nos services publics et de notre niveau d’investissements.

C’est le fruit d’efforts constants et d’une gestion rigoureuse et efficace de l’argent public, grâce à la volonté de nos élus, et à l’investissement remarquable de nos collaborateurs municipaux qui œuvrent chaque jour avec passion et professionnalisme, pour notre ville et ses administrés.

A Sciences Po Paris, un amphithéâtre a été transformé en « amphi. Gaza » par des étudiants d'extrême-gauche. Une jeune femme de 20 ans, membre de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), s’est vue barrer l’accès…

Après ces graves dérapages perpétrés par des activistes pro-palestiniens, l’incapacité de la direction de Sciences Po à condamner un acte antisémite pour ce qu’il est, est véritablement intolérable.

Il faut un réel électrochoc pour endiguer la faillite intellectuelle d’une Institution d’excellence livrée aux mains des islamo-gauchistes et des wokistes.

Plein soutien aux étudiants de confession juive qui ont été pris pour cible de façon inadmissible.

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Crédits photo © | Capture d'écran X @uejf

Mardi 12 mars, le Gouvernement a fait une déclaration relative au débat sur l'accord de sécurité franco-ukrainien et la situation en Ukraine en application de l'article 50-1 de la Constitution.

J’ai voté en faveur du renforcement du soutien de la France à l’Ukraine. Notre devoir est d'être résolument aux côtés de ce pays qui défend sa souveraineté contre l’invasion russe et protéger – pour demain – la sécurité et l’économie de l’Europe toute entière face à l’hostilité de Vladimir Poutine.

L'Assemblée a approuvé cette déclaration :

• Nombre de votants : 572
• Nombre de suffrages exprimés : 471
• Pour l'adoption : 372
• Contre : 99

Accéder à l'analyse du scrutin  

Profond respect pour le soulèvement admirable de courage de ces femmes opprimées en Afghanistan, en Iran, comme partout ailleurs, qui se révoltent au péril de leur propre existence face à la cruauté et l’intégrisme islamiste.

Poursuivons sans relâche ce combat essentiel contre ces fanatiques.