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Face à l'explosion des violences, les paroles ne suffisent plus...

Depuis plusieurs mois, nous assistons à une explosion des violences dans notre pays.

L’insécurité progresse et l’inquiétude des Français suit la même trajectoire. Nous l’avons ressenti sur la Côte-d’Azur où les troubles et les agressions se sont multipliés durant tout l’été.

Nous le voyons aussi avec effarement partout en France, comme à Herblay et à Champigny-sur-Marne où des policiers sont abattus en pleine rue avec une barbarie extrême et des commissariats sont attaqués par des hordes de délinquants.

Pendant ce temps, l’exécutif se contente d’observer et de commenter.

Algérie française : Ce n’est pas en ravivant les souffrances que l’on parviendra à apaiser les mémoires

Révoltée par la diffusion hier soir (ndlr : 06/10/2020) sur France 2 d’un pseudo documentaire en totale contradiction avec l’obligation de neutralité du Service public.

Ni plus ni moins qu’un outil de propagande entre les mains des chantres de la repentance et de tous ceux qui voudraient réécrire de façon partiale l’histoire de France pour tenter d’effacer des mémoires les apports bénéfiques de la colonisation en Algérie comme ailleurs et nier la réalité du traumatisme enduré par les Pieds Noirs et les Harkis arrachés à leur terre et à leurs racines.

Ce n’est pas en ravivant les souffrances de la sorte que l’on parviendra à apaiser le souvenir de ces épreuves tragiques…

Discours du Chef de l’État sur les séparatismes : le compte n’y est pas !

Le Chef de l’État a enfin livré son discours sur les « séparatismes » prévu de longue date et notre déception est grande, car malheureusement nous attendions bien plus de courage et de fermeté de sa part.

Ce sujet essentiel de l’unité de la Nation, mérite mieux qu’un catalogue de demi-mesures qui ne suffiront pas à lutter contre le poison de l’islamisme radical dont le Chef de l’État a mis tant de temps à admettre qu’il était le véritable problème.

Des pans entiers de nos territoires se trouvent désormais sous la coupe islamiste.

L'inaction du Gouvernement face à l'explosion des violences menace notre cohésion nationale

Depuis plusieurs mois, nous assistons à une explosion des violences dans notre pays. L’insécurité progresse et l’inquiétude des Français suit la même trajectoire. Nous l’avons ressenti sur la Côte-d’Azur où les troubles et les agressions se sont multipliés durant cet été perturbé par l’expansion mondiale du coronavirus.

Pendant ce temps, le Chef de l’État se contente d’observer et de commenter. Lui qui récemment qualifiait les agressions « d’incivilités », admet désormais que notre société dans son ensemble est confrontée à une  banalisation de la violence.

Mais les petites phrases et les déclarations d’intention ne suffisent plus. Il est plus que temps pour le Gouvernement d’agir.

En cette rentrée, les réponses ne peuvent plus s’improviser et la clarté s’impose

Nos enfants ont retrouvé le chemin de l’école dans un climat forcément bien particulier.

Au-delà de la joie de revoir ses camarades, nous savons aussi que l’appréhension traditionnellement ressentie face à la découverte de sa nouvelle classe, de nouveaux enseignants et parfois d’un nouvel établissement se double cette année de la crainte légitime face au risque sanitaire lié à la Covid-19.

La reprise des cours était bien évidemment nécessaire après cette longue interruption dûe au confinement et un retour en pointillés durant quelques semaines avant l'été.

Elle ne peut s’envisager autrement qu’avec un maintien d’un haut-niveau d’exigence sanitaire pour prévenir les risques et protéger les familles. A cet égard je regrette que le Gouvernement ait tardé à définir un protocole qui demeure encore flou à bien des égards. Une nouvelle fois, les Collectivités locales ont pris leurs responsabilités et compensé les atermoiements de l’État par la mise en place des meilleurs dispositifs de protection possibles.

Les réponses ne peuvent s’improviser et plus que jamais la clarté s’impose.

Malheureusement cette clarté n’était pas au rendez-vous non plus pour les entreprises et les administrations. L’exigence du port du masque à compter du 1er septembre avec des dérogations dont le cadre n’est pas assez précis.

Enfin, l’exigence de clarté s’impose dans le calendrier des réformes à venir. Les annonces sont nombreuses mais les actions bien trop insuffisantes.

Le plan de relance, priorité parmi les priorités, a été décalé. La réforme des retraites repoussée sine die. Le nouvel acte de décentralisation toujours au stade d'une vague promesse. La réaction impérative face à l’explosion des violences n’est même plus à l’ordre du jour… Tout ici donne le sentiment que les 600 derniers jours du quinquennat seront placés sous le signe de l’immobilisme.

Notre pays ne peut se le permettre et nous exhortons le Président et le Gouvernement à agir concrètement et rapidement pour le redressement de la France et pour le bien-être des Français.

A l'Assemblée nationale

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