Absolument inconcevable qu’à chaque manifestation notre pays soit livré aux mains de bandes de factieux d’extrême-gauche qui n’aspirent qu’à la destruction du bien public et au déchainement de violences contre nos Forces de sécurité.

Ceux qui défient l’autorité doivent être punis avec la plus grande fermeté judiciaire. Le retour de l’ordre dans nos rues est impératif.

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(Illustration : Forces de l'ordre victimes d'un jet de cocktail molotov lors de la manifestation du 1er mai à Paris | Photo : © Florian POITOUT)

Ministre, Député, Maire de Fréjus durant 20 ans… viscéralement attaché à cette terre varoise et azuréenne qu’il aimait tant, François Léotard laisse le souvenir d’un homme politique brillant, passionné et déterminé.

Un homme d’engagement et de convictions, profondément attaché à l’indépendance et à la souveraineté de la France et qui aura mené tout au long de sa vie de valeureux combats pour notre pays, notre Culture française, nos armées et le devoir de mémoire.

Sa hauteur de vue et sa vision inspirante resteront ancrées dans l’histoire de la V^ème République.

Sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui pleurent aujourd’hui sa disparition.

Une grande perte pour notre pays.

Entre erreur d’analyse totale et timing catastrophique à un moment où la cohésion avec nos Alliés est essentielle pour notre sécurité, le voyage du Chef de l’État qui se solde par un tollé occidental, de nouvelles menaces et un exercice militaire d’ampleur de la Chine contre Taïwan est un véritable fiasco diplomatique.

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 À lire dans Le Figaro

Attachés au respect de la loi et de nos Institutions, nous affirmons notre soutien résolu aux Forces de l’ordre.

Nous saluons le courage avec lequel nos policiers et nos gendarmes assurent chaque jour notre sécurité face aux nombreuses tensions qui agitent notre pays.

Nous dénonçons sans réserve les agissements de casseurs et de groupuscules d’anarchistes qui gangrènent les manifestations dans le seul but de se livrer à un déferlement de violence criminelle.

L’utilisation de l’article 49.3 est a la fois regrettable pour notre démocratie parlementaire mais elle est aussi révélatrice d’un véritable aveu d’échec du Gouvernement qui n’a pas voulu engager de vote sur ce texte visant à réformer les retraites face au risque que les défections dans sa propre majorité éclatent au grand jour.